En sous-titre de cette bd, « Ce que je n’ai pas dit à mon père ».
Comment vivre quand on est le fils d’un rescapé des camps nazi qui ne dit pas l’horreur de ce qu’il a vécu à ses enfants. Chacun s’en sort comme il peut dans ce quotidien familial où pèse le non-dit mais où la joie d’être en famille peut, heureusement, l’emporter aussi.
Ce récit en noir et blanc est tout à fait magnifique et vraiment très touchant.
Laurence