Héloise d'Ormesson, Romans

La Saison des mangues, Cécile Hughenin, Héloïse d’Ormesson

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Radhika, Anita, Mira. Trois générations de femmes exilées par mariage, amour ou idéal.

Radhika est née en Inde. Son père la marie à un major anglais qui lui fait comprendre dès la nuit de noces qu’elle devra s’adapter. Radhika devra dénouer son sari pour enfiler des corsets, abandonner les traditions de son pays pour adopter les usages européens. Son mari lui interdira même de transmettre sa culture et son histoire à sa propre fille.

Anita est née en Angleterre. Elle ne découvrira son pays d’origine qu’à l’âge de 14 ans. Les saris, les épices, la langue, tout l’émerveille. Dans l’avion qui l’y emmène, elle fait la connaissance d’un jeune homme qui la séduit d’emblée. « François, français », il n’en faut pas plus pour la faire rêver. Quelques années plus tard, mariée, elle le suivra, lui et sa folie, par amour, à Paris.

Mira est née en Inde sous de mauvais présages auxquels sa mère n’a pas voulu croire. Elle a grandi à Paris, a tourné le dos à ses origines, jusqu’à rejeter son prénom. Mira se fera appeler Mari (sans « «e »).  A 19 ans, elle s’engage dans un projet humanitaire en Afrique. Trois ans plus tard, elle disparaît mystérieusement.

La Saison des mangues, premier roman de Cécile Huguenin (74 ans), est un récit fort, bouleversant, envoûtant. On le quitte à regret, les larmes aux yeux et, pourtant empli d’une étonnante sérénité.

Actualité et animations, Héloise d'Ormesson, Livre de poche

Véronique Biefnot à la librairie Antigone le 13 mai à 19H.

Voici une auteure que j’avais d’abord découverte grâce au roman à suspense « Sous les ruines de Villers »villers.jpg dans la collection roman de gare des éditions Luc Pire.

L’héroïne du livre est une jeune femme prise dans un corset au sens propre comme au figuré qui peu à peu grâce à une rencontre mystérieuse va s’ouvrir au monde. 

C’était une lecture agréable que j’ai partagée avec plaisir.

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Mais je n’avais pas encore pris le temps de lire la trilogie sortie chez Héloïse d’Ormesson.

C’est chose faite depuis ce week-end et j’ai passé un bon moment lecture.

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commander en ligne « Les murmures de la terre »

C’est une histoire pleine de rebondissements où l’on suit Simon Bersic, écrivain à succès et amoureux d’une étrange jeune femme, Naëlle. Dans le premier volet « Comme des larmes sous la pluie » , ils vont être impliqués dans une sordide histoire de séquestration qui va faire remonter à la surface des souvenirs bien pénibles pour Naëlle. 

Le deuxième volet « Les murmures de la terre », nous conte le périple de Naëlle à travers la Bolivie et sa rencontre avec des Chamanes afin de retrouver la mémoire et finalement sa vie.

Enfin dans le troisième volet, « Là où la lumière se pose », Naëlle à l’espoir de retrouver sa soeur dont elle a été séparée quand elle était enfant. Nous voilà emmenés en Ardenne dans une communauté qui, apparemment, cherche à être en communion avec la nature. Mais sous ces apparences idylliques, bien des secrets enfuis vont resurgir.

Le suspense est à chaque page, les émotions aussi. Une bonne lecture détente. commander en ligne / commander l’ebook

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Héloise d'Ormesson, Romans

« Rose » – Tatiana de Rosnay

 

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Rose est une dame d’une soixantaine d’années qui, pendant que les travaux d’embellissement d’Haussman menacent son quartier, nous raconte par des lettres adressées à son mari décédé quelle fût sa vie. Faisant cela, elle remonte le temps et met au jour à la fois le Paris de son enfance et ses vieux métiers oublliés en même temps que sa vie de femme, entre enfance malheureuse, mariage heureux et quotidien serein de petite bourgeoise. Ce sont des histoires d’amour qu’elle nous livre: celui qu’elle éprouvait pour son mari, celui de cette maison dans laquelle il avait toujours vécu qu’il lui a fait promettre de ne jamais quitter…quelles que soient les circonstances. C’est alors le visage d’une dame déterminée qui apparaît alors au lecteur. Qui sera plutôt une lectrice.

En effet, ce roman ma foi bien écrit est plutôt réservé à un public féminin puisqu’il traite à la fois de moments-clé de la vie féminine (accouchements,…) ainsi que d’intérêts plus légers tels que toilettes, organisation d’un ménage, fleurs et parfums. Son intérêt réside selon moi dans la description d’un Paris-village oublié et d’une époque particulière, celle des grands bouleversements qu’a connu le Second Empire. Par ailleurs, on y retrouve la « patte » de Tatiana de Rosnay, celle que l’on rerouve dans d’autres de ses romans, notamment dans « Elle s’appelait Sarah », à savoir que l’auteur aime construire son récit à partir d’un lieu de vie précis, généralement un appartement, qui peut être considéré comme un pesonnage à part entière.

 

Cynthia

 

Tatiana de Rosnay, Rose, éd. Héloise d’Ormesson, 21,70 euros