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Notre sélection de romans pour la fête des mères !

Nous avons fait une petite sélection de romans parus récemment et qui pourraient plaire à votre maman !

Il y en a pour tous les goûts !

Parmi ceux-ci, il y a ceux pour lesquels nous avons déjà fait un billet sur ce blog:

Pour les mamans qui aiment les romans d’amour et d’aventures !

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Dont vous pouvez trouver le commentaire de Nadège ici

 

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Un très beau roman d’une auteure que j’aime beaucoup ; je vous ai déjà présenté deux romans d’elle, dont Providence qui m’avait beaucoup émue. J’écrirai une petite note de lecture prochainement pour ce nouveau roman paru chez JCLattès en janvier.

 

Pour les mamans qui aiment les romans noirs !

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un roman noir dont nous vous conseillons la lecture ici. POUR RAPPEL, nous recevons l’auteure le mardi 30 mai à 19h30.

 

L’attente a été longue mais le voilà enfin, le nouveau roman de Fred Vargas !

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Dans les nouveautés, nous avons encore ceci :

 

Pour les mamans qui aiment voyager 

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Magique : le nouveau roman de Victoria Hislop nous entraîne en Grèce sur les traces d’un amour perdu. Richement illustré, Cartes postales de Grèce fait chatoyer les couleurs de la Méditerranée. Dans sa boîte aux lettres, Ellie trouve, semaine après semaine, des cartes postales signées d’une simple initiale : A. Ces cartes ne lui sont pourtant pas destinées. Pourquoi lui parviennent-elles ? Qui est l’expéditeur ? Mystère. Portant l’éclat du ciel grec et l’eau cristalline de la mer, ces missives sortent la jeune femme de sa morosité quotidienne.
Un jour, elles cessent cependant d’arriver. Ellie se sent délaissée, privée de cette bouffée d’oxygène qui la faisait rêver et voyager. Elle prend alors une décision : découvrir ce pays par elle-même. Le matin de son départ, Ellie reçoit un carnet par la poste. L’odyssée d’un homme, le fameux A, y est racontée. Celui-ci observe avec tendresse et générosité les Grecs, leurs coutumes, et ce qui fait le sel de leur quotidien.
Derrière ses observations et ses savoureuses anecdotes se dessine le portrait d’un homme blessé. Pourrait-il encore croire en l’amour ?

 

Pour les mamans qui aiment l’humour déjanté et un peu noir !

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Nadine Monfils est une artiste belge iconoclaste. Auteur de plus de 60 romans, elle a été l’une des premières femmes publiée à la « Série Noire ». Elle a aussi écrit et réalisé un long-métrage, Madame Edouard, avec un casting prestigieux. Elle a reçu de nombreux prix dont le prix Polar au salon Polar & Co de Cognac et le prix Saint-Maur en poche, de la Griffe Noire, pour l’ensemble de son oeuvre. Après Mémé Cornemuse, héroïne récurrente dont la première aventure a connu un immense succès en librairie, Nadine invente un nouveau personnage barré, promis à de nombreuses aventures, Elvis Cadillac.

 

Pour les mamans qui aiment les animaux !

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Et si maman n’a pas encore lu le premier tome de Jules, il vient de passer en poche !

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Jules, c’est un chien pas comme les autres puisqu’il est guide pour aveugle. Une belle histoire comme sait nous les conter Didier van Cauwelaert !

 

 Pour les mamans qui n’ont pas beaucoup de temps mais qui aiment lire un peu le soir

voici deux recueils de nouvelles :

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À  la question « Êtes-vous mariée? » l’auteure du «Mec de la tombe d’à côté» clame volontiers : « Je suis entre deux mariages… » Ces «Petites histoires» pleines de malice et de dérision vous le diront, on a toujours mille et une raisons de divorcer – ou de le regretter !

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Michel Lambert nous fait pénétrer à nouveau dans l’univers chancelant des couples ou des compagnons de route improbables, des secrets douloureux à retardement, des derniers pas que promènent, au fil d’un poignant chant du cygne, ceux qui ne pourront plus jamais se retrouver comme avant, dans l’illusion ou le fantasme, soudain surpris par l’éternel lendemain et sa lumière trop forte et trop blanche.

Un auteur que j’aime beaucoup et qui est déjà venu quelques fois à la librairie: c’est ici pour les détails.

 

 Pour les mamans qui préfèrent les poches.

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Pour les mamans qui aiment les suspenses.

Eté 1989. La Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture route trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère n’ont pas eu la même chance. Eté 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux du drame, accompagnée de son mari et de sa fille adolescente.
Elle veut profiter de ces vacances pour exorciser le passé. C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre… de sa mère. Vivante ?

 

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Devant leur petit garçon, ils dansent sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir et la fantaisie. Celle qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible. Elle les entraîne dans un tourbillon de poésie pour que la fête continue, coûte que coûte. L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.

Pour les mamans qui aiment les histoires d’amour.

 

Les Escales, Romans

Le miroir des illusions, Vincent Engel, éd. Les escales

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Vincent Engel est un auteur qu’on ne présente plus, professeur à l’UCL, chroniqueur au journal Le Soir, il publie un nouveau roman dont l’action se passe comme souvent dans ses romans, en Toscane.
Nous sommes en 1849 à Genève où Atanasio reçoit d’un notaire la missive de son père décédé lui demandant de le venger avant de pouvoir hériter de la fortune familiale.
Le père en question est le Prince Giancarlo Malcessati, milanais et éleveur de chevaux qui a épousé la jeune vénitienne Alba Acotanto, fille de obscur prince désargenté en échange d’argent pour réparer son palais vénitien. Mais la jeune femme n’aime pas ce mari âgé qui l’emmène loin de sa ville bien aimée.
Un jour, elle est sauvée des griffes de malfrats grâce à un jeune allemand, Wolfgang, et en devient la maîtresse. Mais celui-ci se révèle peu à peu violent et cupide surtout quand il apprend qu’Alba attend un enfant de lui. Se rendant compte de son erreur et essayant d’échapper à cet homme qui l’a poussé à empoisonner son mari, elle s’enfuit avec ce dernier en Suisse. Mais Wolfgang les retrouve et, malgré la tentative d’Alba d’éliminer définitivement cet amant encombrant, Wolfgang survit sous une autre identité et fomente lui aussi une vengeance diabolique contre Alba, son mari et sa descendance.

L’histoire est bien menée et tient en haleine jusqu’au bout avec des retournements de situation et des révélations qui surprendront le lecteur jusqu’à la dernière page.

Les Escales

Quand la lumière décline, Eugen Ruge

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Le deuxième roman lu pour la rentrée littéraire de 2012, est le premier livre d’un auteur né en Sibérie en 1954, mathématicien de formation, passé à l’Ouest en 1988, un an avant la chute du mur de Berlin.

Il nous conte dans ce roman l’histoire d’une famille russo-allemande acquise aux idéaux révolutionnaires communistes. Sur quatre générations, grâce à une construction littéraire qui entremêle les époques et les voix, nous suivons l’évolution de cette famille : Les grands-parents, Charlotte et Wilhelm, exilés au Mexique pendant la guerre qui décident de rentrer en RDA dans les années cinquante pour construire leur pays selon l’idéal communiste; leur fils Kurt, intellectuel, qui a fuit le nazisme à Moscou et survécu aux années de Goulag sous Staline. Alexander, le petit-fils, qui ne trouve pas sa place ni dans sa famille ni dans son pays et puis Marcus l’arrière petit-fils, imperméable aux idées communistes mais bien plongé dans un monde sans repère.

Lors de l’anniversaire du patriarche, une nouvelle va bouleverser la famille et l’ordre des choses. Peu à peu, au fil des chapitres, on comprend mieux la vie de chacun et les pensées profondes qui les animent.

Les personnages secondaires sont magnifiques également.

Un tout bon roman, qui je l’espère, ne passera pas inaperçu parmi les centaines de romans de la rentrée.

Laurence