Grasset, Litttérature de jeunesse

Vladimir et Clémence, Cécile Hennerolles et Sandrine Bonini, Grasset jeunesse

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La vie avait donné à Vladimir un prénom qui sentait la neige fraîche, et une vilaine myopie qui le contraignit très tôt à porter d’affreuses lunettes.

On n’a jamais vraiment su si c’était à cause de ses yeux qui ne voyaient pas très bien que Vladimir avait décidé de regarder le monde à travers son appareil photo. Ou peut-être était-ce simplement parce qu’il aimait le petit clic qu’on entend à l’oreille, et qu’on sent sous les doigts, au moment d’appuyer sur le bouton pour fixer l’instant à tout jamais.

Toujours est-il que la photographie devint son métier.

Ainsi commence Vladimir et Clémence, l’histoire d’une rencontre entre un photographe spécialisé dans les portraits de personnes âgées et une jeune femme invisible qui apparaît un jour mystérieusement devant son objectif. A partir de cet instant, Vladimir n’a de cesse de la retrouver…

Un conte délicat et poétique, tout en tendresse et joliment illustré, à mi-chemin entre Le Petit Prince (on ne voit bien qu’avec le cœur) et Amélie Poulain (Clémence l’Invisible s’est donnée la mission d’aider les gens et de les rendre heureux en traçant des mots et des flèches à la craie sur leur chemin). Une histoire d’amour, de différence, de photos de famille et de petits cailloux blancs semés ici et là…

Une histoire qui rend heureux…

 

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